MARS 2003

 

JE N’AI QUE TOI… SEIGNEUR !

 

         Quand je prends conscience de ma pauvreté, de toutes mes déficiences, je n’ai qu’une réaction, c’est de me jeter à tes pieds, d’implorer ta miséricorde et de me confier à ton amour, comme tous ceux que tu as guéris de leur aveuglement et de leur ignorance.

 

       Je voudrais tant te faire aimer, te faire connaître, révéler ton amour qui surpasse toute connaissance !

 

       Tout ce que tu as créé, tu l’as fait par amour ! Tu nous a appelé à l’existence, simplement pour nous donner la joie d’exister et vivre de toi.

 

       Toi seul, sait pourquoi tu as fait le monde tel qu’il est ! Et je ne peux que  faire confiance à ton amour pour croire qu’il ne pouvait être autrement ! Sinon, tu l’aurais fait différemment.

 

       Ton amour est si puissant, qu’il peut tout donner en un instant à ceux qui n’ont rien et c’est ton immense joie que de pouvoir les combler de toi !

 

Mais tu ne peux donner qu’à ceux qui découvrent sous l’action de ta grâce, leur véritable et profonde pauvreté : le royaume est aux pauvres !  Tu as pitié  de tous ceux qui sont encore loin de toi. Tu les poursuis de ton amour et tu saisis toutes les occasions possibles pour toucher leur cœur !

 

       Tu es si patient avec nous ! Tu attends que nous soyons prêts à t’écouter ! Pour toi, le temps n’existe pas ! Tu sais attendre le moment qu’il faut pour nous  sauver de nos aveuglement, de nos entêtements et de notre inconscience !

 

       Tu es Père et tu aimes infiniment chacun de tes enfants. Ton amour tout-puissant ne saurait être vaincu par la misère et l’ignorance des hommes. Tu veux que tous soient sauvés.

 

       C’est pourquoi tu es venu assumer notre nature humaine pour lui donner la perfection qui naturellement manquait à sa création originelle .

Tout est à la gloire de ta grâce Seigneur Jésus !  Tu sais que je n’ai que toi qui puisse me comprendre et qui connaisse vraiment toute l’histoire de ma vie !

       Entre tes mains Seigneur, je remets mon âme ! Que plus tard, je puisse enfin  me consumer d’amour pour toi durant toute l’éternité et te redire sans cesse combien je t’aime !

                                                             Grégoire.

      

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