Notre Seigneur au Père de la Colombière…

 

« Je puis en un instant réparer tout le passé d’une  âme pourvu que celle-ci me traite en Dieu et ne limite pas ma miséricorde par son manque de foi »

Notre Seigneur au Père de la Colombière.

                                                                  

 

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus…

 

                         Dites bien ma mère, que si j’avais commis tous les  péchés du monde, j’irai le coeur brisé de repentir  me jeter dans les bras de Jésus, car je sais combien il chérit l’enfant prodigue qui revient à lui…

             …Le bon Dieu qui sait de quelle boue il nous a pétris et qui nous aime plus qu’une mère ne peut aimer son enfant, nous a dit, lui qui ne ment pas, qu’il ne repousserait pas celui qui vient à lui…

             …Quelle douce joie de penser que le bon Dieu est juste, c’est à dire qu’il tient compte de nos faiblesses, qu’il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi aurai-je peur ?

Les mains vides. Conrad de Meester. Ed. du Cerf.1988

 

 

L’AMOUR DU PERE…

 

« Nous ne sommes  pas la somme de nos faiblesses et de nos échecs ! au contraire, nous sommes la somme de L’Amour du PERE pour nous et de notre capacité réelle à devenir l’image de son FILS ».

Le Pape Jean-Paul II à Torento.2002

 

 

Quand Dieu accueille un être humain…

 

Quand Dieu accueille un être humain, quel qu’il soit, il le fait toujours avec un infini respect, car il l’a créé à son image…

Et il l’accueille toujours avec une infinie tendresse, car Il le voit toujours dans le visage de son fils bien-aimé, Jésus de Nazareth, le premier né de toute créature, en qui il  a mis tout son amour…

Grégoire

 

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